Comme le dit Michel ODOUL, « Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi ».
Vous pouvez aussi trouver ceci ==> la maladie = « mal a dit« .
Le décodage biologique est donc la recherche de ce que votre corps (ou votre maladie, votre mal-être) souhaite vous dire.
Mettre des M.O.T.S. sur les M.A.U.X.
Il est important, je pense, de rappeler une chose sur le fonctionnement de notre corps : lorsque quelque chose nous met en danger (jusqu’au danger de mort), le réflexe de notre inconscient est de mettre tout le nécessaire en place pour nous permettre de survivre. La « survie » est la priorité de notre inconscient.
Pour être plus clair, je vais vous partager une partie très personnelle de ma vie. J’ai fait il y a plusieurs années une grossesse extra-utérine. J’ai réchappé de peu à la mort car je faisais une hémorragie interne et j’ai trainé pour aller à l’hôpital. Bref… la réaction qui s’en est suivi, de mon inconscient, a été de mettre en place le nécessaire pour que je ne puisse plus tomber enceinte. Car il avait associé « grossesse » à « mort ». Donc pour ma survie, il m’a empêché de tomber enceinte à nouveau. Enfin… jusqu’à ce que je le comprenne et le travaille 😉
Mais avec tout ça, vous allez me dire « oui, mais encore ?! », « Qu’est-ce que je fais avec cela ? », « J’ai lu beaucoup de livres de décodage et j’ai beau avoir les explications de mon mal, il ne passe pas ».
Alors voici comment je procède :
La plupart du temps, je fais des soins à distance par téléphone ou par visioconférence. Donc j’utilise mon pendule pour capter l’énergie de la personne qui me demande de l’aide. Ainsi je croise à la fois ce que la personne m’a expliqué (les réponses de son conscient) et ce que son inconscient me fournit par le pendule en testant ce qui perturbe ou non son énergie (son Aura). On doit identifier toutes les causes, qu’elles soient physiques, émotionnelles ou/et spirituelles. C’est donc un travail de recherche en binôme 😉
Puis on procède à un soin pour traiter chaque cause « origine ». Parfois quelque chose qui s’est produit pendant la première année de vie, parfois in-utéro, parfois même avant (c’est-à-dire dans d’autres vies).
Selon les personnes, un soin sera suffisant, ou il en faudra plusieurs. Comme j’aime à le présenter de façon imagée : nous sommes comme un oignon, on enlève une couche après l’autre jusqu’à avoir ôté le nombre de couches nécessaires pour atteindre le bien-être.